facts ✦ fait souvent des cérémonies de thé durant son temps libre
✦ aime particulière les les daifuku mochi à la pâte d'haricots rouges
✦ est d'ailleurs plus friand de sucré que de salé
✦ sa pâtisserie préféré reste le taiyaki
✦ on ne dirait pas comme ça, mais il est extrêmement gourmand
✦ ses sourires sont souvent enclin à la mélancolie
✦ shintoïste
✦ passionné d'histoire et de mythologie
✦ ancien inspecteur de police mit au placard après une affaire ayant mal tournée
✦ en deuil de sa collègue et tendre "amie"
✦ il souffre d'un PTSD assez sévère
✦ il n'arrive plus réellement à se lier à quiconque de peur de perdre encore un être cher
✦ à consulter autant de psychologues qu'il n'a lus de bouquins
✦ écouter les problèmes des gens soulagent étrangement les siens
✦ l'ambiance des temples de son pays d'origine lui manque
✦ se demande encore pourquoi ses parents ont quitté le pays du soleil levant
✦ c'est un être amouraché et possessif
✦ il ne supporte que très difficilement la solitude, c'est pourquoi il est souvent dans des lieux bondés
✦ cela lui donne l'illusion d'être entouré
✦ joue du piano et du violoncelle
✦ joue souvent les soirs de pleine lune à la mémoire de sa tendre amie
✦ à peur de dormir, de cauchemarder, d'être incapable de trouver du répit dans ses rêves
✦J'suis dans l'premier Mario, à chaque fois, j'crois que j'ai fini l'jeu, ça repart à zéro, En plus rapide, en plus dur, j'devais être plus mûr, j'ai dû me tromper d'futur
elle est sa némésis, celle qui le ronge, lui infligeant moult sévices. cette haine grondante, ne lui laisse aucun répit. ce corps meurtri, allongé parterre, sur un sol bétonné, restera à tout jamais, une image gravée. s'il n'avait plus aucune once de raison, peut-être qu'il aurait succombé à la vile tentation, de disparaître pour de bon ; mais son amour pour elle, ne doit jamais être effacé. c'est pourquoi, il porte ce fardeau, cette tristesse amère, s'infligeant milles et uns tourments ; avec l'illusion déconcertante, d'arriver à dialoguer encore avec elle. il continue d'entendre le chant de sa voix, ses conseils avisés - il continue de lui parler, à chaque moment de la journée, sans un bruit, seulement en pensée ; elle s'y agglutine, ne l'a jamais "quitté". elle était son tout, elle était son monde ; sa possible rédemption. elle est devenu son rien, elle est devenue le néant ; son incapacité à aller de l'avant.
Marre de faire des grands sacrifices pour des petites gloires, sans même savoir savourer la victoire. Mes nuits sont blanches, mes idées noires, c'est comme chaque fois qu'j'ai arrêté d'boire tt qu'les journées sont plus qu'des gueules de bois.
autrefois, il était souvent guilleret ; un sourire perpétuellement niché sur le faciès - il était tantôt frivole, tantôt à l'ouest. c'était un jeune homme en quête de savoir, mais doté d'une curiosité éphémère, d'une assiduité exemplaire, mais cruellement passagère. un génie qui aimait tout comprendre, tout connaître, tout étudier, se plongeant sans arrêt à la perfection dans ce qui s'apparente à l'excellence - s'oubliant souvent, les trois quarts du temps. c'était un jeune homme à la simplicité touchante, mais à l'arrogance navrante. il était beaucoup de choses, mais aujourd'hui, il se sait n'être rien. jamais il n'aurait pu prévoir que son existence serait chamboulée à ce point, dès lors qu'il avait succombé aux charmes de cette femme. jusqu'au bout du monde, il l'aurait suivit et c'est ce qu'il a fait ; oubliant son premier choix de carrière, pour pouvoir rester avec elle. devenir inspecteur, la soutenir corps et âme, comme un amant de passage.
J'regrette mes vieux démons, roi dans l'mensonge, esclave dans l'vrai monde. Vigilent à chaque seconde, si j'le laisse seul, mon esprit s'égare dans la pénombre
c'est un homme qui écoute, en silence. qui fait toujours preuve de bon sens, avec nonchalance, mais d'une écrasante prestance. jamais il rejette, ô non, jamais ; il fait tout ce qui est en son pouvoir, pour pousser les autres à venir lire dans ses "tablettes", les ouvrages d'une bibliothèque, ainsi que ses prédictions tantôt controversés, mais rarement "à côté". tout ce qu'il souhaite, c'est que vous deveniez un de ses parfaits adeptes ; que vous n'ayez plus jamais à baisser la tête. c'est un homme prévenant, bienveillant, chaleureux, mais déconcertant. avec lui, il n'y a jamais d'entre deux, avec lui, vous vus devez de jouer franc jeu - mais ne vous attendez pas à ce qu'il en face autant ; cet homme est dépourvu d'équivalence. l'ambivalence de cet être prouve que son existence est de toute évidence difficile à cerner. être une énigme, c'est quelque chose qui le ravit ; alors il alimente ce mystère. il se fait souvent psychologue, et vous finissez par devenir le patient, il est le confident de vos confessions.
Je suis Épuisé, mais plus pour longtemps j'en suis sûr
Les sonneries de téléphone, la pression ont élargi mes blessures J'me souviens pas d'la date de mon dernier fou rire Je suis un homme bientôt je serai un souvenir
d'une grande piété, son amour pour la spiritualité n'est plus à prouver. la sagesse est une noblesse, de celle qu'il accroit à chaque visite à différentes églises ou temples, conversant avec des gens bien plus pieux qu'il ne le sera jamais. vivre selon ses choix, selon ses principes, c'est ce à quoi il a toujours aspiré ; mais il n'oublie pas, de toujours faire indice de clarté. non, le comprendre, ce n'est pas donné à tout le monde ; même si vous faites preuve de limpidité. déblayant vos problèmes, il n'a pas besoin d'user de sa tête comme lorsqu'il résolvait des enquêtes ; si beaucoup pense qu'oublier permet d'effacer tous les malheurs de cette terre ; il n'en est rien. Il est partisan de l'effort, de l'écoute, de la diplomatie et du temps. pour l'homme, il y a une place pour chaque chose - et le temps ne doit pas être altérer, ni bouleverser. chaque être est différent - et par conséquent - mérite d'être écouter et aider ; preuve est faite de son immense altruisme, de son amour pour le genre humain et de son irrémédiable empathie.
Semper crescis Aut decrescis Vita detestabilis Nunc obdurat Et tunc curat Ludo mentis aciem
purifier l'esprit, s'approprier la catharsis, véhiculer un message positif ; faire abstraction de tout ce qui est négatif. c'est ce à quoi il aspire ; mens sana in corporel sano « un esprit sain dans un corps sain » ; c'est là le mode de vie de cet homme, convertis par celle qui aurait du devenir sa femme - il tente avec ses propres moyens, de faire comprendre le côté bénéfique de la chose. Il ne souhaite rien, si ce n'est ; que tout le monde arrive à s'extirper de ses malheurs ; par la force de l'esprit, mais en ne restant jamais seul. l'homme sait, à quel point la présence des autres est nécessaires au bon déroulement d'un organisme ; une sorte d'effet placebo que l'on omet, préférant filer antidépresseurs et autres absurdités du genre. c'est un pactisant, il prêche pour cette paroisse là et non pour aucune autre. oublier les traditions, oublier cette idée saugrenue d'être renfermé, d'être intimiste, de ne pas vouloir dévoiler ses faiblesses - il comprend l'effet qu'un psychologue peut avoir sur lui, alors corps et âme, il se dédie à autrui.
Hac in hora Sine mora Corde pulsum tangite Quod per sortem Sternit fortem Mecum omnes plangite
se perdre en chemin et ne pas retrouver le sentier qui le ramène à la raison ; sur les bons rails... Il a essayé, il a cru bon d'accepter toutes les mains tendues, bien trop naïf ; et c'est là, quelque chose de corrosif. Il y a de l'acide sulfurique qui coule parfois dans ses veines, tapant contre son poignet, comme le sang qui ne s'arrête jamais de circuler ; en proie à des crises de paniques irréversibles, qui viennent l'enserrer comme des racines. l'homme est son seul juge, le seul créateur de son unique désespoir. une carcasse taillé dans du béton qui a été réduit à néant, jeté à la mer comme les cendres d'un corps incinéré. son regard fier, mais toutefois mélancolique est levé vers l'horizon d'un monde en déclin dont il n'espère jamais en voir la fin. les fantômes du passé ne le lâche pas, il montre au stylo la direction, l'aidant à retracer sa vie, ses choix contestables et ceux indéniables. Il n'a pas fait que du mal, mais c'est souvent ce qu'il reste ; car l'humain est très bon pour s'empêtrer dans les émotions négatives. il se rappelle des coups de revolver, mais pas des vies sauvées. il se rappelle des arrestations corsées, mais pas des gens épargnés. ce qu'il oublie, c'est qu'il n'y a pas d'êtres vraiment « beaux » en ce monde. il n'y a pas de personnes fondamentalement « bonnes » ; ce n'est qu'un mythe, une utopie, une idéalisation que l'homme cherche à atteindre. et il ne fait pas exception. alors il essaye, en tirant les cartes, de retrouver un semblant de dignité, de démontrer par a+b, que son monde mérite encore de tourner, qu'il n'a pas encore tout perdu ; il doit juste trouver la force et le courage d'avancer. pour elle, mais surtout pour lui..